• Daniel Pennac « au bonheur des ogres ».

     

    2,5/5

     

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  • Padilha Nina - Filigranes et Dentelles - Poésie

    5/5

    J'ai découvert Nina il y a 3 ans - déjà ! le temps passe ! sur la plateforme Overblog.

     Padilha Nina - Filigranes et Dentelles - Poésie

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  • Le dernier templier  

    Raymond KHOURY 

    4/5

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  • Les 3 tomes :

    - Les hommes qui n'aimaient pas les femmes (4/5)

     

    - La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette

    (3/5 - trop de violence dans ce tome)

     

    - La reine dans le palais des courants d'air (4/5)

     


     

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  • Françoise Bourdin - Un été de canicule 

    4/5

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    Saga familiale qui se lit très facilement. 

    Bonne lecture estivale sur la plage ou sur sa terrasse. 

     

    A Cucuron, les Soubeyrand nagent dans le bonheur. 

    Emma, patronne du café des tilleuls et ses 4 enfants ont un secret inavouable  ...qu'ils gardent depuis des années. 

     

    Mais c'est sans compter l'accident de Vincent, le retour de son frère du Brésil et du corbeau et de ses lettres de menace qui reprennent de plus belles ... 

     

     

    Autres avis Bourdin françoise :

    - Les vendanges de Juillet

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  • Un monde sans fin

     4/5

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    Nous nous retrouvons en 1327 dans Le petit village anglais de Kingsbridge  dans lequel Tom le bâtisseur et Jack (livre les piliers de la Terre)  ont reconstruit la cathédrale. 

    Quatre enfants se trouvent témoins d’une poursuite meurtrière dans les bois : une lettre mystérieuse … qui mettrait en danger la couronne d’Angleterre en est à l’origine. 

    Le destin de ces quatre enfants est relaté dans ce livre qui nous fait traverser le XIVème siècle avec ses guerres, les famines et la peste noire. 

     

    PERSONNAGES PRINCIPAUX :

    ·          Merthin et Ralph, les deux frères :

                descendants de Jack le batisseur

    ð  Merthin a pris le talent de Jack et en fait bénéficier sa ville : il est doux, chaleureux, compréhensif, généreux.

    ð  A l’inverse de Ralph, son frère, monstre cruel qui se délecte de faire du mal à autrui.

     

    ·         Caris :

    ð  Amoureuse de Merthin, elle souhaite cependant devenir médecin, ce qui, malheureusement, n’est qu’un doux rêve à cette époque où seuls les hommes ont le droit de  pratiquer la médecine. Mais elle saura, par son caractère déterminé et son courage, se faire entendre, du moins autant que son statut de femme le lui permettra.

     

    ·         Gwenda :

    ð  Amie de Caris, bien que n’ayant pas le même statut social, elles se comprennent et se soutiennent.

    Gwenda a, comme Caris, un caractère déterminé et du courage. Les épreuves ne l’ont pas épargnée. Son père la vend à des truands contre une vache laitière ! heureusement cette dernière s’en sort et fait tout, à partir de ce moment, pour avoir ce qu’elle désire le plus dans la vie : Wulfric, dont elle est passionnément amoureuse et ne plus être une « sans terre » comme ses parents, condamnés à mourir de faim une bonne partie de l’année.

     

    ·         Godwyn :

    ð  Qui réussit, par son caractère fourbe et sans scrupule, à manier ceux qu’il désire et à s’élever au rang de Prieur.

     

    Il y a encore bien des personnages dans ce roman de 1300 pages quasiment :

    - Dame Philippa, Comtesse au grand cœur,

    -  Les sœurs du couvent : Mair entre autre, et surtout Cécilia, la mère supérieure.

    -  Philémon, acolyte de Godwyn et frère de Gwenda, toujours prêt à aider ce dernier et bien d’autres…

     

    Du début à la fin du roman on se demande si Merthin et Caris finiront par se marier un jour tant les rebondissements sont nombreux.

     

    J’avoue tout de même avoir un peu languie la fin les 200 dernières pages ce qui ne m’était pas arrivé avec les piliers de la terre.

    Un livre dont on attend la fin…. Tout de même !!

     

    Très agréable à lire, les personnages sont attachants, mais à la fin il y a beaucoup de retour en arrière, de rétrospection (normal me direz vous ces derniers ont vieilli et donc comme toutes les personnes âgées se replongent dans le passé en voyant le présent et en imaginant l’avenir pour leurs petits enfants …).

     

    Mis à part cela je me suis régalée à lire ce livre.

    C’est sûr il y a beaucoup d’injustice, de misère, la guerre, la peste, mais la façon d’écrire de cet auteur est très agréable.

    On  s’emporte contre les uns, on espère pour les autres : on est Caris, Merthin … on vibre avec eux.

     

    Mais je conseille à ceux qui ne connaissent pas ces romans de commencer par le commencement et donc par « les piliers de la terre ».

     

     

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  • SON ROMAN : ET SI C'ETAIT VRAI 

     

    Levy Marc - Et si c'était vrai...

    Marc Levy, né le 16 octobre 1961, est un écrivain français.

    En 1983, il crée sa première entreprise avec deux associés : Logitec. En 1990, après la perte de sa société suite à un projet qui n’a pu aboutir,  il crée un cabinet d’architecture.

    L’année 2000 verra sa consécration. Et si c'était vrai... son premier roman, lui permet de remporter le prix Goya et sera adapté par Steven Spielberg au cinéma.

    Dès lors, il décidera de quitter le cabinet et de se consacrer entièrement à l’écriture. 

    Son roman : « et si c’était vrai… »

     

    Nous sommes emportés dans une suite d'événements qui semble à tout un chacun irréaliste. Le personnage principal lui-même est, de prime abord, sceptique face à ce qu'il voit.

    Est-elle réelle ?

    Cette femme dans son placard qui dit être l'âme de son corps qui se trouve à l'hôpital dans un coma qui semble irréversible.

    Pourquoi est-il seul à pouvoir la voir, lui parler ?

    Arthur doit pourtant se rendre à l'évidence : Lauren en tant qu'entité existe à ses yeux et même plus qu'aucune personne.

    Doit-il la secourir ? Cela serait absurde puisque elle est, certes, dans le coma, mais en vie.

    Doit-il se secourir ?

    L'un l'autre s'apporteront mutuellement plus que jamais la flamme dont chacun a besoin pour survivre, comprendre ce qui est essentiel : s'aimer, être aimé, trouver le bonheur ; ne plus courir après le temps, mais après la vie.

     

    Et si c'était vrai ...? si l'on pouvait être un jour bouleversé par une situation, un être, qui bouleverserait nos repères...

     

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  • Une joute oratoire au XXVIème siècle entre l'auteur et un génie ... génie du bien, génie du mal ? lequel des deux aura le dernier mot.

    2.5/5

    Nothomb Amélie - Peplum

    Histoire de Péplum

    Ce roman est conçu comme un récit autobiographique dans lequel  Amélie se retrouverait  propulsée du XXème au XXVIème siècle sans raison apparente.

    Mais c’est face au discours de Celsius, qui lui apprend qu’elle a prononcé des paroles interdites, qu’elle comprend qu’une simple supposition tirée de son imagination fertile, a pu la conduire en ce lieu.

    En effet, Pompéi, détruite en 79 après Jésus Christ, l’a-t-elle été du fait du hasard ? Le volcan du Vésuve est-il responsable ?

    Sa présence en cette salle « d’examen » face à son « examinateur » laisse à penser le contraire.

    Ce dernier la juge, tant physiquement qu’intellectuellement, ne lui épargne aucune remarque. Son coefficient de  betterave la rend nuisible à la société, une société dans laquelle il n’y a plus de Pays, dans laquelle l’énergie doit être extrêmement régulée sous peine de pénurie et gouvernée par un Tyran. Ce modèle de société serait considéré au XXVIème siècle comme étant  le plus viable.

     

    Humour d’Amélie Nothomb

    On retrouve le cynisme d’Amélie, son humour impitoyable.

    Elle fait semblant de se prendre au sérieux dans ce discours sans fin dans lequel elle cherche à avoir le dernier mot.

    On constate la rivalité des deux êtres en présence face à :

    • Une idéologie différente,
    • Une culture avec des références pas toujours identiques.

    Chacun tente de défendre son époque, ce qu’il en est ou en a été.

    Une joute oratoire qui semble ne mener nulle part mais qui soulève pourtant bien des sujets.

     

     

     

     

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  • Attentat 

     

    Nothomb Amélie - Attentat

    Attentat

    L’homme le plus laid a-t-il le droit de tomber amoureux de la femme la plus belle ? l’humour-défense trouvera-t-il l’amour sans méfiance ?

    ***********

    Amélie Nothomb, écrivain Belge, née le 13 août 1967, est issue d’une famille aisée dont le père est ambassadeur.

    De ce fait, elle voyage beaucoup.

    Née au Japon, elle garde un attachement à ce Pays et à sa culture qui se ressent dans ses écrits.

    Les romans qui ont fait son succès :

     " Hygiène de l’assassin ", en 1992,

    " Stupeur et tremblements", en 1999, qui obtient le grand prix de l’Académie française.

    Boulimique d’écriture, elle écrit un roman par an. De quoi enchanter les fans inconditionnels du genre.

     

    Les personnages

     

    Epiphane Otos : Quasimodo des temps nouveaux

     

    Surnommé Quasimodo depuis l’enfance, Epiphane Otos est le personnage le plus laid qu’il ait été donné de rencontrer.

    Provoquant le rire, la peur, l’angoisse, le dégoût chez les autres, Epiphane souffre, certes, de sa condition, mais, en être intelligent qu’il est, saura néanmoins tirer parti de sa laideur.

     

    Ethel : superbe et douce comédienne

     

    Placée au rang de divinité par Epiphane tant tout est parfait chez elle, Ethel, encensée, le mérite-t-elle ?

    Qui mérite qui ?

    La beauté a-t-elle la suprématie sur la laideur ? L’intelligence sur la bêtise ?

    La gentillesse sur la cruauté ?

     

    L’histoire

     

    Epiphane , un être non dénué d’humour malgré sa laideur, cultivé, intelligent, loin de se cacher des autres, cherche leur contact.

     Il est vrai que, comme tout un chacun, il a besoin de travailler pour subsister ; c’est alors qu’il trouve une annonce qui pourrait lui correspondre, pense-t-il : «  cherche homme hideux pour film d’art ».

    Mais l’accueil se révèle glacial, Epiphane brutalisé se retrouve sans connaissance. Cependant, son réveil est l’un des plus merveilleux : une fée est penchée sur lui ; Ethel, personnage principal du film.

    Après avoir à nouveau essuyé un échec pour un poste sans qualification pour lequel on ne sait comment le renvoyer poliment sans faire de « délit de faciès », Epiphane a une idée de génie : entrer dans une agence de mannequin avec la belle Ethel pour se faire embaucher, lui.

    Le résultat ne manque pas de se faire attendre : Ethel est soigneusement « inspectée », son compagnon supposé être son photographe ou agent, jusqu’au moment où la vérité éclate : Epiphane souhaite être mannequin.

    Grand orateur, manipulateur, Epiphane réussi l’impensable :son rêve prend forme ; il est engagé.

    Reconnu par tous, voyageant constamment, prendra-t-il la grosse tête ? Non. La gloire, l’argent, lui importent peu sans amour ; Ethel occupe ses pensées nuit et jour.

    Pourquoi l’impensable ne se réaliserait-il pas encore ? Obtenir son amour.

     

     

     

    Avis sur d’autres livres d’Amélie Nothomb 

    Ni d’Eve ni d’Adam
    péplum

     Stupeur et tremblements

     




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  • La marque de Windfield de Ken Follett est un roman situé à l'époque victorienne dans lequel intrigues et rebondissements s'enchaînent à la perfection

    5/5

    Follett Ken - La marque de Winfield

    Ken Follett, né en 1949 au Pays de Galle, après une carrière journalistique, peut désormais se consacrer entièrement à sa passion, l’écriture, lorsque ses compétences en tant qu’écrivain sont reconnues par le prix Edgar, en 1978, lors de la parution de son livre "Eye of the needle".

    Romans d’espionnage ou historiques : tous se révèlent être des romans à succès, plusieurs même des Best Sellers.

    Parmi ces derniers, on retrouve notamment "les piliers de la terre" suivi d' "un monde sans fin" et la "marque de Winfield".

    L’histoire : la marque de Windfield

    En 1866, lors d’une baignade, Peter, élève du collège de Windfield, non loin de Londres, se noie, alors que ce dernier est un excellent nageur.

    Deux garçons sont présents et constatent que Edward, l'héritier de la fortune des Pilaster et son acolyte, Micky Miranda, fils d'un grand propriétaire terrien d'Amérique du Sud, chahutent quelque peu ce dernier.

    Il s’agit de Hugh Pilaster, cousin de Edward, dont le père a fait faillite lorsqu’il était jeune et s’est suicidé et de Tonio Silva, dont les parents représentent « l’ennemi à abattre » pour la famille Miranda, au Cordovay.

    Or, ces derniers s’en vont avant de savoir si Peter s’est noyé ou s’il a été tué.

    Edward est alors protégé par sa mère, qui est persuadée qu’il est responsable de la mort de Peter, Micky Miranda le lui faisant croire, et même tenu pour héros, Micky assurant qu’il tentait de sauver le pauvre Peter.

    Dès lors, le destin de ces jeunes garçons sera étroitement lié : rivalités amoureuses, luttes pour s'assurer le contrôle de la banque pour les uns, du Cordovay pour les autres.

    Le style et les personnages

    Un roman haletant, que l’on ne peut lâcher. Chaque événement se suit à une vitesse qui ne laisse jamais le lecteur se lasser, le suspens est insoutenable.

    L’écriture est très agréable, les personnages attachants ou détestables, mais ne laissant jamais indifférent, que ce soit Hugh et Maisie, bons, loyaux, se servant de l’argent mais n’en n’étant pas dépendants, Micky Miranda et Edward Pilaster, l’un machiavélique, l’autre bête et méchant, Augusta, mère d’Edward, à l’ambition démesurée pour tous et surtout pour son fils et son mari ou encore la meilleure amie de Maisie, loyale mais qui aime l’argent et le fait savoir, Solly Greenbourne, très gentil malgré sa situation de banquier extrêmement riche, tous sont parfaitement décrits et le lecteur peut les imaginer et se fondre dans le récit.

    Il est même difficile, une fois terminé, de se dire que le livre est bel et bien fini ! tant la lecture en est aisée.

     

     

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